|
Centre Audiovisuel Liège asbl Rue Beeckman 51 4000 Liège +32 (0)4/232.18.81 cav.liege@sec.cfwb.be www.cavliege.be
|
Editorial - Médiathèque : participation au projet de l'asbl HYPOThèse - Médiathèque : nouvelles acquisitions - Ouvrages récents - Médiactu décembre - Carte de voeux
Si le contenu ne s'affiche pas correctement, cliquez ici
Editorial
1963. Première séance du ciné-club de l’Ecole normale de la Ville de Liège ; il y en aura quelque cinq cents par la suite. Le film qui fut projeté à la séance inaugurale : «Alexandre Newski» de S.M. Eisenstein. Le public se composait de vingt-trois spectateurs, futurs instituteurs et régents.
2013. Première ébauche d’une Web TV au Centre Audiovisuel de Liège avec un groupe d’élèves de l’athénée de Waha. Objectif : proposer des témoignages d’anciens sur leur expérience de la pédagogie alternative. Le public visé : l’infinité des internautes d’une société désormais en réseau.
Entre ces deux dates, cinquante ans se sont écoulés…, cinquante ans d’éducation à l’image et au son. Le terme «cinéma» conviendrait-il encore ? Toutes ses mutations et ses déclinaisons furent nombreuses et variées. Et cependant, nous osons affirmer qu’il y a bien un même continuum, une même volonté de créer du sens, d’exprimer et de communiquer des émotions, un même plaisir et une même complicité.
Mais il est bien vrai que le temps s’est écoulé, et plus précisément dans un domaine où les bouleversements technologiques ont profondément modifié le paysage audiovisuel, les rapports entre les individus et la perception que nous pouvons avoir de notre environnement quotidien.
Le Cercle d’Education Cinématographique de 1963 n’a plus grand-chose à voir avec le C.A.V. Liège, en ce premier quart du 21ème siècle, encore qu’il y ait bien une filiation, une permanence dans les objectifs, mais plus vraiment dans les stratégies mises en œuvre et encore moins dans les outils utilisés.
Quels sont les principaux changements qui nous ont conduits à cette nouvelle manière de voir les choses et de les vivre? Au plan du matériel et des supports utilisés, on note évidemment une accessibilité que l’on ne connaissait guère auparavant ; elle tient à des formats plus compacts, à une hybridation rendue possible par l’apport du numérique. Il y a aussi une volonté de convergence qui a gommé les spécificités et réduit les écarts entre médias. La photographie, l’enregistrement sonore, la vidéo, le cinéma, le texte écrit, etc. se trouvent désormais réunis et interviennent associés sur un même CD ou, mieux encore, sur cette clé USB, que l’on peut porter en sautoir pour ne pas l’égarer. Oubliées les bobines de 35 mm, de 16 ou de super 8. Elles ont été digitalisées pour se mettre à la portée de chacun et pour échapper à la vulnérabilité du support pellicule. Mais, pour revenir à Newski, cela nous permettra de montrer à nos étudiants tel fragment de la bataille du Lac Tchoud avec tout le contraste et la précision voulue.
Accessibilité, hybridation, convergence,… aussi bien pour la projection que pour la prise de vue et le montage, qui ne deviennent pas pour autant un jeu d’enfant, mais ne sont plus réservés aux seuls professionnels. L’avancée technologique nous fait toucher du doigt ici le principe de la réversibilité. De récepteurs critiques, nous pouvons devenir, à notre tour, concepteurs et émetteurs. Et cette réversibilité des rôles et des fonctions vient alimenter l’interactivité, l’écriture participative, l’éducation collaborative… Les théories sur la co-énonciation, lors de la lecture d’un récit ou de la vision d’un film, peuvent trouver ici un point d’aboutissement concret.
On pourra, bien sûr, regretter une telle globalisation, cette interchangeabilité des rôles et des statuts. Au nom d’une prétendue qualité, on pourra se scandaliser de ce principe de réversibilité ou de certains dommages collatéraux comme la disparition des genres. Il est vrai que fiction et documentaire n’hésitent plus à se rejoindre, comme la réalité et sa mise en scène finissent par s’identifier à l’écran et dans le quotidien de notre flux médiatique. La hiérarchie du récit fait place à un propos éclaté, à une multiplication des points de vue et des références culturelles. De telles notions se sont imposées sur nos multiples écrans dans des champs aussi variés en apparence que le journalisme citoyen, la culture en réseau ou… le webdocumentaire.
1963-2013. Une période de fractures multiples, de mutations profondes, de révolution… Une période qui correspond à la juxtaposition d’une cinéphilie prestigieuse (et toujours essentielle à nos yeux), celle des Griffith, Eisenstein, Fellini, Truffaut, et d’une cinéphilie plurielle, celle des Aronofsky, Haneke, Ang Lee, celle que vous pratiquez vous-même lorsque vous placez votre vidéo sur You Tube ou que vous mettez en scène votre communication devant une webcam…
Alors, effectivement, lors de ces cinquante ans tout a été modifié dans l’ «éducation au cinéma», tout sauf l’essentiel : créer du sens, cultiver l’émotion, se donner du plaisir et en procurer aux autres.
Michel Clarembeaux cav.liege@sec.cfwb.be
Retour au sommaire
Médiathèque
Participation au projet de l'asbl HYPOThèse
L'asbl HYPOThèse, qui promeut l'apprentissage des sciences, a mis sur pied un projet de partenariat durable entre les musées, les bibliothèques et les enseignants des écoles fondamentales. |
|
Dans le cadre de ce projet, elle a demandé au Centre AudioVisuel de produire des fiches présentant des documents audiovisuels en relation avec les thèmes abordés dans les différents musées partenaires (entre autres, le Grand Curtius, le Musée de la vie wallonne, le Musée de la métallurgie).
Au total, 16 fiches ont été créées pour préparer ou prolonger la visite de ces musées par les élèves du fondamental autour de thématiques bien précises : le verre, le travail du métal, les transports et l'énergie, les marionnettes, ombres et lumières, les textiles, le son et l'eau.
Nous nous réjouissons de cette collaboration, qui nous permet d'assurer pleinement notre rôle de centre de ressources.
Retour au sommaire
Nouvelles acquisitions
Parmi les acquisitions des dernières semaines de 2012, beaucoup sont venues enrichir notre rayon dédié au cinéma belge (visible sur notre catalogue en ligne grâce à la catégorie éponyme ). En voici une présentation succinte :
|
|
Big memory. Cinéastes de Belgique Richard Olivier, Les impressions nouvelles, un livre (2012) et 5 DVD (2011)
Big Memory est d’abord un projet cinématographique, un film composé d’entretiens de 13 minutes avec les cinéastes belges, dont la durée dépasse celle d’une dizaine de longs métrages mis bout à bout. Le livre est constitué d’extraits de ces entretiens avec 170 réalisateurs belges, parmi lesquels Luc et Jean-Pierre Dardenne (Rosetta, Le Fils, Le Gamin au vélo), Felix Van Groeningen (La merditude des choses), Jaco Van Dormael (Toto le héros, Le 8ème jour), Bouli Lanners (Eldorado)… Ces regards croisés sont extrêmement vivants. Ensemble, ils composent un passionnant panorama du cinéma belge et de ses auteurs. Une double page est consacrée à chacun des cinéastes.
|
|
|
L'école de la tolérance - Une école en terre d'accueil - L'école de la vie Roger Beeckmans, Image Création.com (2003, 2009 et 2011, 52 min.)
Les trois documentaires du réalisateur, d'une durée de 52 minutes chacun, sont consacrés aux écoles dites à discrimination positive.
Chaque documentaire est accompagné d'un DVD de suppléments, où les thèmes proposés dépassent le domaine de l'enseignement pour aborder des questions liées à la vie privée des étudiants : insertion et intégration, école et discrimination, religion et laïcité, etc.
|
|
|
Images d'Ostende (1929-1938) Henri Storck, Cinematek, 2011, 97 min.
Henri Storck a traversé toute l'histoire du 7ème art, en passant du muet au parlant, de l'expérimental au film de commande. Il est reconnu comme un des pionniers du cinéma belge et un incontournable du documentaire. Son oeuvre compte 70 films, parmi lesquels une série de documents, présentés sur ce DVD, sur sa ville natale d'Ostende dont il a été le chroniqueur et qui est restée, pour lui, la reine des plages.
|
|
|
Henri Storck : les films sociaux Cinematek
Ce DVD édité par la Cinematek présente trois films de Storck : Misère au Borinage (1933, 27 min), Les maisons de la misère (1937, 28 min) et Le patron est mort (1938, 28 min).
Misère au Borinage, coréalisé avec Joris Ivens, est devenu un classique du cinéma du réel dans ce qu'il a de plus engagé. Dans le même style pamphlétaire il réalise Les maisons de la misère, qui dénonce les taudis, et Le patron est mort, sur les obsèques d'Emile Vandervelde, le leader du Parti Ouvrier Belge.
|
|
|
Ex-drummer Koen Mortier, Blaq Out, 2007, 104 min.
Bienvenue à Ostende, la ville la plus déprimante au monde. Que même Béla Tarr ne voudrait pas y mettre les pieds. Dans l'ennui, on suit trois handicapés qui demandent à un batteur de monter avec eux un groupe rock afin de remporter un concours pathétique. Lorsque ce dernier les rejoint, il n'est pas au bout de surprises. Sensationnel et sensationnaliste, le film présente des personnages glauquissimes et donne à humer du purin existentiel en bobine. Cousin virulent de Transpotting, Ex Drummer parcourt les festivals du monde entier et devrait se présenter comme la nouvelle révélation trash de 2007. Un événement à surveiller de très près, pour ceux qui aiment les trucs décalés.
|
|
|
Cinéma Inch'Allah! Vincent Coen et Guillaume Vandenberghe, Imagine, coll. "Actes belges", 2012, 80 min.
Cinéma Inch'Allah! dresse le portrait de quatre amis, quatre cinéastes belgo-marocains qui habitent dans les quartiers populaires de Bruxelles. Ces comparses n'ont qu'un rêve depuis leur adolescence : faire des films. Cinéma Inch'Allah! dépeint le balancement perpétuel de leur vie qui oscille entre rêve et réalité. Il montre comment les protagonistes naviguent entre leur travail et leur passion, la Belgique et le Maroc, la tradition et la modernité, la famille et les amis, les rêves et la réalité.
|
|
|
Couleur de peau : Miel Jung et Laurent Boileau, Cinéart, 2012, 75 min.
Ils sont 200 000 enfants coréens disséminés à travers le monde depuis la fin de la guerre de Corée. Né en 1965 à Séoul et adopté en 1971 par une famille belge, Jung est l'un d'entre eux. Adapté du roman graphique Couleur de peau : Miel, le film revient sur quelques moments clés de la vie de Jung : l'orphelinat, l'arrivée en Belgique, la vie de famille, l'adolescence difficile... Il nous raconte les événements qui l'ont conduit à accepter ses mixités. Le déracinement, l'identité, l'intégration, l'amour maternel, tout comme la famille recomposée et métissée, sont autant de thèmes abordés avec poésie, humour et émotion...
|
|
|
L'hiver dernier John Shank, Cinéart, 2012, 100 min.
Quelque part sur un plateau isolé. Johann a repris la ferme de son père. Il y consacre tout son temps et toute son énergie. Aux portes de l'hiver, l'équilibre fragile de son exploitation est menacé. Johann se replie sur lui-même, fuit les êtres qui l'entourent. Prisonnier de son héritage, il continue à accomplir les mêmes gestes et tente d'aimer comme il peut l'univers dans lequel il vit, au moment même où ce monde est sur le point de disparaître.
|
|
|
38 témoins Lucas Belvaux, Cinéart, 2011, 100 min.
Alors qu'elle rentre d'un voyage professionnel en Chine, Louise découvre que sa rue a été le théâtre d'un crime. Aucun témoin, tout le monde dormait. Paraît-il.Pierre, son mari, travaillait. Il était en mer. Paraît-il... La police enquête, la presse aussi. Jusqu'à cette nuit où Louise rêve. Elle rêve que Pierre lui parle dans son sommeil. Qu'il lui parle longuement. Lui qui, d'habitude, parle si peu.
|
|
|
Compilation de courts-métrages Néon rouge production
Terre nouvelle (Bernard Dresse, 24 min, 2011)
Le garçon lumière (Jérémy van der Haegen, 34 min, 2011)
A ton vieux cul de nègre! (Aurélien Bodinaux, 14 min, 2012)
Irafi (la couture)(Sandra Fassio, 14 min, 2012)
O négatif (Laura Wandel et Gaëtan d'Agostino, 20 min, 2011)
|
|
|
Viva Riva! Djo Tunda Wa Munga, O'Brother, 2011, 80 min.
À Kinshasa, "Ceux qui n'ont pas" passent leur temps à envier "ceux qui ont", et rêvent du jour où ils auront. Après dix années passés à l'étranger, Riva revient plein aux as, décidé à mener la grande vie comme "ceux qui ont". Mais sa richesse vient de l'argent qu'il a dérobé à ses patrons, des truands Angolais. Ceux-ci décident de se venger.
|
|
|
L'envahisseur Nicolas Provost, O'Brother, 2011, 95 min.
L'Envahisseur emboîte le pas à Amadou, clandestin africain ayant rejoint l'Europe au risque de sa vie. Après moult péripéties, Amadou débarque à Bruxelles dans l'espoir d'y trouver une existence à la hauteur de ses grandes espérances. Mais la réalité est cruelle et il n'y récolte que la misère et l'exploitation. Cependant rien n'altère sa volonté et son enthousiasme. Grâce à cette vitalité, il séduit Agnès, une jolie femme d'affaires. Cette idylle devrait lui permettre d'émerger enfin au grand jour, d'accéder à ce qu'il désirait si ardemment. Mais l'illusion ne dure pas. Comme il se fait plus pressant, Agnès se détache. Et c'est une terrible descente aux enfers qui débute. Luttant de façon irraisonnée contre plus fort que lui, Amadou va se transformer en l'individu dangereux que cette société qui n'a pas voulu de lui a engendré.
|
Sophie Lescrenier, médiathécaire
mediatheque@cavliege.be
Retour au sommaire
Ouvrages récents
Depuis novembre 2012 (lettre d’info n°22), quatre ouvrages récents sur les médias ont fait l’objet d’une recension. Nous les évoquons ici par le biais d’abstracts. Les analyses complètes sont téléchargeables ici .
|
|
Médias : influence, pouvoir et fiabilité. A quoi peut-on se fier ? Julien Lecomte, L'Harmattan, «Questions contemporaines», 2012, 249p. (25€)
Il s'agit d'une réflexion métacognitive sur les médias et leur incidence sur nos propos et nos comportements. L'auteur se veut aussi nuancé que possible sur le pouvoir de ces médias, il entend bien surtout qu'on cesse de les diaboliser et de voir dans ceux qui les façonnent, des manipulateurs professionnels. Certes, il y a bien la propagande politique, la publicité, une pratique économique qui exige de la rentabilité... Mais le rejet ne doit pas être pour autant global et sans appel. Car, en définitive, les médias nous manipulent-ils plus que notre propre perception de la réalité qui nous entoure? En d'autre termes, l'ouvrage gravite entre deux questions, qui se complètent et doivent être étroitement associées : «A quoi puis-je croire?» et «A qui puis-je me fier?». L'hypothèse assez séduisante de Julien Lecomte est qu'une analyse critique des médias, c'est peut-être d'abord une analyse des rapports que chacun d'entre nous entretient avec eux. Un ouvrage original et intéressant, qui revisite les «fondamentaux» de l'éducation aux médias, en multipliant les illustrations et les références. Un premier essai très prometteur.
|
|
|
Moi René Tardi, prisonnier de guerre au STALAG II B Jacques Tardi, Casterman, 2012, 188p. (25€)
Jacques Tardi est bien l’un des meilleurs bédéistes actuels. Et, pour rappel, la BD est bien un média. Comme telle, elle nous intéresse mais, plus encore, lorsqu’elle introduit de nouveaux dispositifs narratifs qui se rencontrent au cinéma par ex. L’auteur de «Putain de guerre» se centre ici sur le sort des prisonniers de guerre en 40-45, des jeunes qui ont eu leur destin brisé, qui se sont retrouvés derrière les barbelés, amers, meurtris, honteux. L’auteur, qui à l’époque n’était pas encore né, y accompagne son père dans cette misérable aventure et lui pose des questions pour essayer de comprendre ses choix et ses comportements. Si le procédé est original, il représente aussi un pont intergénérationnel entre les jeunes lecteurs d’aujourd’hui et ces tristes héros d’une guerre qui leur a volé leurs meilleures années.
|
|
|
Un œil sur le monde. Les meilleurs dessins de presse internationaux de 1989 à nos jours
Jean-Christophe Victor, Robert Laffont, 2012, 280p. (32,70€)
Les publications concernant le dessin de presse ont tendance à se multiplier. On s'en réjouit, car c'est là un élément rédactionnel qui non seulement fait sourire le lecteur complice, mais participe aussi à la vulgarisation d'une actualité sociale ou économique souvent complexe. «Art du débat et du combat», le dessin de presse est aussi un matériau qui mériterait d'être intégré aux cours d'histoire et de sciences sociales. Et ce florilège de J-Ch. Victor en est une preuve. L'ouvrage non seulement contextualise chaque événement ou personnage politique évoqué (dans une période allant de 1989 à nos jours), mais à propos de l'objet du dessin, il y a chaque fois une confrontation de dessinateurs d'horizons culturels très divers et, en outre, une volonté d'aider le lecteur dans sa lecture d'image. Un vrai document d'éducation aux médias...
|
|
|
Lire les images de Cinéma
Laurent Jullier, Michel Marie, Larousse, Coll. «Comprendre et reconnaître», 2012, 264p. (30,40€)
Les introductions au langage cinématographique et les abrégés d'histoire du cinéma se bousculent aux portillons des bonnes librairies et souvent se ressemblent comme deux gouttes d'eau. Aussi est-il toujours passionnant de découvrir un ouvrage qui sorte du lot par son approche assez originale, qui ne se fait pas pour autant au détriment de sa qualité scientifique. Les deux auteurs sont d'ailleurs les garants de cette qualité. Il s'agit aussi d'un ouvrage « grand public », ce qui ne gâche rien, dans un domaine où les études « savantes » et les albums « magnifiquement illustrés » ont pris l'habitude de monopoliser le monde de l'édition. On passe ainsi du plan à la séquence, de la séquence au film avec beaucoup de plaisir. On parcourt aussi le cinéma muet, l'âge d'or des genres, le classicisme, le cinéma de la modernité, le second souffle d'Hollywood et l'ère postmoderne avec une égale complicité.
|
M. Cl.
Retour au sommaire
Médiactu - novembre/décembre 2012
On trouvera dans cette rubrique des échos de la Journée des profs relais au CAF de Tihange sur les nombres et les statistiques dans la presse ainsi que sur les infographies qui les concrétisent. Quelques infos aussi sur la Boîte à clichés de la RTBF, sur la nouvelle présidence du CSA, la réunion du groupe d’experts en Media Literacy à Bruxelles. Des échos également de la quatrième édition du 3D Stereo Media à Liège, des 125 ans du «Soir», du nouveau contrat de gestion de la RTBF, etc.
Le texte est visible en son intégralité sur notre site.
M.Cl.
Retour au sommaire
|
|